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2022/23 : Enfants hospitalisés à Necker pour une greffe de moelle osseuse

En France, chaque année, 250 enfants atteints de cancer bénéficient d'une greffe de moelle osseuse. La greffe de moelle osseuse est utilisée dans les cas de maladie grave du sang (aplasie médullaire, myélome, lymphome, leucémie) ou de maladie héréditaire (drépanocytose, thalassémie). Pour les parents comme pour l'enfant (très sensible au stress des parents), l'annonce de la greffe est un moment d'angoisse. Parce que les risques ne sont jamais anodins. Parce que le pronostic vital de l'enfant est parfois engagé. Parce que les conditions sanitaires imposent à l'enfant un isolement total. Pour l'enfant, c'est un changement radical d'univers. Il est dans une chambre stérile dont il ne peut pas sortir. Les visites sont limitées (interdites aux frères et sœurs) et soumises à des règles strictes. L'apparence des proches disparaît sous la blouse, le chapeau, le masque et parfois les gants. Pour la greffe, il passe dans une chambre sous flux laminaire, encore mieux protégée. Après l'intervention, il reste quelques jours dans une unité de soins intensifs, puis il retourne dans la chambre stérile où il reste au minimum 3 mois pour la rééducation. Pendant cette période, l'enfant est sous surveillance médicale continue dans un contexte stressant (entrées-sorties fréquentes des soignants, bips des alarmes, bruit du monitoring, du respirateur, de la pompe à perfusion …). Pour certains enfants cloués dans leur lit, cette immobilité physique entraine une immobilité psychique et une incapacité à penser. Ils n'arrivent plus à se projeter, à avoir des projets à court ou long terme. Pour d’autres, cette immobilité vient chambouler les repères de vie quotidienne. Elle entraine une effervescence de la pensée avec des idées qui tournent en boucle et génèrent de l’inquiétude voire une anxiété anticipatoire. Dans ce contexte, un soutien spécifique de l'enfant est recommandé. Le projet consiste à accompagner l'enfant greffé par l'art-thérapie. L'art-thérapie est une pratique de soins reconnue par l'OMS. Par l'intermédiaire d'un processus créatif (peinture, collage, gribouillage, modelage, photo, écriture, contes, etc…) on apporte à l'enfant malade de l'énergie, de l'élan vital et l'occasion d'exprimer ce qu'il a au plus profond de lui-même. En stimulant son énergie intérieure et ses ressources personnelles, on maximise l’effet des traitements. En lui permettant de maintenir sa curiosité et son imaginaire, on l'aide à mieux gérer ses émotions. Il continue à grandir et à se construire malgré (ou avec) la maladie. On réduit ainsi l’anxiété de l'enfant. C'est une reconnexion avec la richesse de sa vie. Une pause heureuse dans ses journées de traitement.   Les Médecins de l'Imaginaire (ONG existant depuis 2003) proposent des séances d'art-thérapie suivant des protocoles d’intervention adaptés aux problématiques spécifiques de l’hospitalisation. Ces protocoles sont basés sur près de 20 ans d’expertise dans la maladie grave. Ils sont animés par des arts-thérapeutes diplômés ayant une connaissance poussée de la maladie et de ses processus psychologiques. Pour une meilleure fluidité de l’accompagnement, ils échangent régulièrement avec les psychologues et les infirmières sur la situation de l’enfant (fatigue ? douleurs ? présence des parents ? etc…). Ils bâtissent ainsi une alliance thérapeutique avec l’enfant, mais aussi avec les parents, prérequis fondamental pour que l’enfant puisse s'investir.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet en finançant les interventions des art-thérapeutes. Les art-thérapeutes suivent l'enfant pendant au moins 3 mois mais il n'est pas rare de suivre un enfant 5 à 6 mois (notamment lorsqu'il y a des complications liées aux risques de rejet). Parfois l’accompagnement se poursuit en service de réanimation et/ou jusqu’aux derniers moments de vie. Lieu d'intervention : Hôpital NECKER Unité Immuno Hématologie et Rhumatologie (UIHR) Budget total : 17 225 € (30 enfants) Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Médecins de l'Imaginaire Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : juillet 2023  

En France, chaque année, 250 enfants atteints de cancer bénéficient d'une greffe de moelle osseuse. La greffe de moelle osseuse est utilisée dans les cas de maladie grave du sang (aplasie médullaire, myélome, lymphome, leucémie) ou de maladie héréditaire (drépanocytose, thalassémie). Pour les parents comme pour l'enfant (très sensible au stress des parents), l'annonce de la greffe est un moment d'angoisse. Parce que les risques ne sont jamais anodins. Parce que le pronostic vital de l'enfant est parfois engagé. Parce que les conditions sanitaires imposent à l'enfant un isolement total. Pour l'enfant, c'est un changement radical d'univers. Il est dans une chambre stérile dont il ne peut pas sortir. Les visites sont limitées (interdites aux frères et sœurs) et soumises à des règles strictes. L'apparence des proches disparaît sous la blouse, le chapeau, le masque et parfois les gants. Pour la greffe, il passe dans une chambre sous flux laminaire, encore mieux protégée. Après l'intervention, il reste quelques jours dans une unité de soins intensifs, puis il retourne dans la chambre stérile où il reste au minimum 3 mois pour la rééducation. Pendant cette période, l'enfant est sous surveillance médicale continue dans un contexte stressant (entrées-sorties fréquentes des soignants, bips des alarmes, bruit du monitoring, du respirateur, de la pompe à perfusion …). Pour certains enfants cloués dans leur lit, cette immobilité physique entraine une immobilité psychique et une incapacité à penser. Ils n'arrivent plus à se projeter, à avoir des projets à court ou long terme. Pour d’autres, cette immobilité vient chambouler les repères de vie quotidienne. Elle entraine une effervescence de la pensée avec des idées qui tournent en boucle et génèrent de l’inquiétude voire une anxiété anticipatoire. Dans ce contexte, un soutien spécifique de l'enfant est recommandé. Le projet consiste à accompagner l'enfant greffé par l'art-thérapie. L'art-thérapie est une pratique de soins reconnue par l'OMS. Par l'intermédiaire d'un processus créatif (peinture, collage, gribouillage, modelage, photo, écriture, contes, etc…) on apporte à l'enfant malade de l'énergie, de l'élan vital et l'occasion d'exprimer ce qu'il a au plus profond de lui-même. En stimulant son énergie intérieure et ses ressources personnelles, on maximise l’effet des traitements. En lui permettant de maintenir sa curiosité et son imaginaire, on l'aide à mieux gérer ses émotions. Il continue à grandir et à se construire malgré (ou avec) la maladie. On réduit ainsi l’anxiété de l'enfant. C'est une reconnexion avec la richesse de sa vie. Une pause heureuse dans ses journées de traitement.   Les Médecins de l'Imaginaire (ONG existant depuis 2003) proposent des séances d'art-thérapie suivant des protocoles d’intervention adaptés aux problématiques spécifiques de l’hospitalisation. Ces protocoles sont basés sur près de 20 ans d’expertise dans la maladie grave. Ils sont animés par des arts-thérapeutes diplômés ayant une connaissance poussée de la maladie et de ses processus psychologiques. Pour une meilleure fluidité de l’accompagnement, ils échangent régulièrement avec les psychologues et les infirmières sur la situation de l’enfant (fatigue ? douleurs ? présence des parents ? etc…). Ils bâtissent ainsi une alliance thérapeutique avec l’enfant, mais aussi avec les parents, prérequis fondamental pour que l’enfant puisse s'investir.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet en finançant les interventions des art-thérapeutes. Les art-thérapeutes suivent l'enfant pendant au moins 3 mois mais il n'est pas rare de suivre un enfant 5 à 6 mois (notamment lorsqu'il y a des complications liées aux risques de rejet). Parfois l’accompagnement se poursuit en service de réanimation et/ou jusqu’aux derniers moments de vie. Lieu d'intervention : Hôpital NECKER Unité Immuno Hématologie et Rhumatologie (UIHR) Budget total : 17 225 € (30 enfants) Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Médecins de l'Imaginaire Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : juillet 2023  

2022/23 : Enfants diabétiques au Maroc

Au Maroc, 30 000 enfants sont atteints du diabète de type 1 (diabète insulino-dépendant) et chaque année, 3600 nouveaux cas sont répertoriés. Ce diabète est une maladie chronique, grave et incurable. Le projet consiste à aider les enfants diabétiques et leurs familles qui n'ont pas les moyens d'acheter l'insuline et les bandelettes de mesure. Explication : le pancréas sécrète de l'insuline qui favorise le stockage du sucre dans les muscles et le foie. Les enfants diabétiques ayant un déficit d’insuline, le glucose s'accumule dans le sang et ne peut plus être utilisé pour produire l'énergie nécessaire au fonctionnement des organes vitaux (cœur, cerveau, rein). Le corps le remplace alors par un autre carburant, les acides gras (lipides), ce qui entraîne la production de substances acides nocives. Les symptômes sont connus : fatigue, déshydratation, nausées, vomissements, difficultés à respirer, confusion, coma. Les complications peuvent être graves : infarctus, AVC, troubles rénaux pouvant conduire à une dialyse définitive, cécité, etc... Chez l'enfant, le diabète est souvent diagnostiqué lors d’un épisode d’hyper-glycémie (excès de sucre dans le sang), parfois mortel. Lors du diagnostic, l'hospitalisation doit être systématique pour effectuer un bilan complet et décider d'un traitement adapté afin de maintenir un taux correct de sucre dans le sang (glycémie). Mais il faut aussi débuter un processus d’éducation thérapeutique (enfant, parents et proches). Car l'enfant diabétique est le premier acteur de sa santé. Plus il connaît sa maladie, plus il saura adopter les gestes qui en minimisent les conséquences (auto-surveillance de la glycémie, administration d'insuline par injection sous-cutanée, régime alimentaire équilibré, activité physique régulière). Cette auto-surveillance est effectuée en prélevant une goutte de sang au bout du doigt. On la dépose sur une bandelette et on l'analyse ensuite dans un appareil de lecture du taux de sucre.   Le projet est situé à Errachidia (région du Drâa, Tafilalet), à quelques kilomètres au Nord du Sahara. L'ONG Pédiatres du Monde (qui intervient au Maroc depuis 1996) travaille sur place avec l'association marocaine CHIFAA qui regroupe les parents de 91 enfants ayant un diabète. Des bénévoles de PDM dispensent des actions d'éducation thérapeutique à ces enfants et à leurs familles. Car le dosage de la glycémie doit se faire 4 fois par jour et il faut noter tous les résultats afin d'optimiser les doses d'insuline. L'importance de cette contrainte n'est pas toujours perçue et doit faire l'objet d'une sensibilisation répétée. Parmi ces 91 enfants, 64 enfants ne bénéficient que de la couverture minimale de santé marocaine (RAMED) qui ne prend pas en charge l'achat des consommables (bandelettes) nécessaires à l'équilibre de leur diabète. Or une bandelette revient à 0,25 €. Soit pour une surveillance de 4 glycémies par jour, une dépense de 360 € par an et par enfant. Certaines familles démunies n'ont pas cette capacité financière.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet en finançant les bandelettes de dosage permettant de suivre les glycémies des enfants   Budget total : 23 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Pédiatres du Monde, Association marocaine CHIFAA Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € (soit la prise en charge de 16 enfants pendant 1 an). Fin du projet : décembre 2023

Au Maroc, 30 000 enfants sont atteints du diabète de type 1 (diabète insulino-dépendant) et chaque année, 3600 nouveaux cas sont répertoriés. Ce diabète est une maladie chronique, grave et incurable. Le projet consiste à aider les enfants diabétiques et leurs familles qui n'ont pas les moyens d'acheter l'insuline et les bandelettes de mesure. Explication : le pancréas sécrète de l'insuline qui favorise le stockage du sucre dans les muscles et le foie. Les enfants diabétiques ayant un déficit d’insuline, le glucose s'accumule dans le sang et ne peut plus être utilisé pour produire l'énergie nécessaire au fonctionnement des organes vitaux (cœur, cerveau, rein). Le corps le remplace alors par un autre carburant, les acides gras (lipides), ce qui entraîne la production de substances acides nocives. Les symptômes sont connus : fatigue, déshydratation, nausées, vomissements, difficultés à respirer, confusion, coma. Les complications peuvent être graves : infarctus, AVC, troubles rénaux pouvant conduire à une dialyse définitive, cécité, etc... Chez l'enfant, le diabète est souvent diagnostiqué lors d’un épisode d’hyper-glycémie (excès de sucre dans le sang), parfois mortel. Lors du diagnostic, l'hospitalisation doit être systématique pour effectuer un bilan complet et décider d'un traitement adapté afin de maintenir un taux correct de sucre dans le sang (glycémie). Mais il faut aussi débuter un processus d’éducation thérapeutique (enfant, parents et proches). Car l'enfant diabétique est le premier acteur de sa santé. Plus il connaît sa maladie, plus il saura adopter les gestes qui en minimisent les conséquences (auto-surveillance de la glycémie, administration d'insuline par injection sous-cutanée, régime alimentaire équilibré, activité physique régulière). Cette auto-surveillance est effectuée en prélevant une goutte de sang au bout du doigt. On la dépose sur une bandelette et on l'analyse ensuite dans un appareil de lecture du taux de sucre.   Le projet est situé à Errachidia (région du Drâa, Tafilalet), à quelques kilomètres au Nord du Sahara. L'ONG Pédiatres du Monde (qui intervient au Maroc depuis 1996) travaille sur place avec l'association marocaine CHIFAA qui regroupe les parents de 91 enfants ayant un diabète. Des bénévoles de PDM dispensent des actions d'éducation thérapeutique à ces enfants et à leurs familles. Car le dosage de la glycémie doit se faire 4 fois par jour et il faut noter tous les résultats afin d'optimiser les doses d'insuline. L'importance de cette contrainte n'est pas toujours perçue et doit faire l'objet d'une sensibilisation répétée. Parmi ces 91 enfants, 64 enfants ne bénéficient que de la couverture minimale de santé marocaine (RAMED) qui ne prend pas en charge l'achat des consommables (bandelettes) nécessaires à l'équilibre de leur diabète. Or une bandelette revient à 0,25 €. Soit pour une surveillance de 4 glycémies par jour, une dépense de 360 € par an et par enfant. Certaines familles démunies n'ont pas cette capacité financière.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet en finançant les bandelettes de dosage permettant de suivre les glycémies des enfants   Budget total : 23 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Pédiatres du Monde, Association marocaine CHIFAA Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € (soit la prise en charge de 16 enfants pendant 1 an). Fin du projet : décembre 2023

2022/23 : Enfants ukrainiens réfugiés en Roumanie

Chaque minute, près de 10 enfants ukrainiens sont arrachés à leur foyer. Depuis le 24 février 2022, la guerre a obligé plus de 4 millions d’enfants a fuir leur domicile (source UNICEF). De nombreux parents décident alors d’envoyer leurs enfants en sécurité à l'étranger. Mais la loi martiale impose à tous les hommes de 18 à 60 ans de rester au pays pour se battre. Les enfants quittent donc l'Ukraine soit seuls soit accompagnés par les femmes de la famille. Pour échapper au danger imminent, la plupart partent en catastrophe. Dans l'urgence, ils laissent derrière eux tous leurs biens matériels. A la détresse de leur exode s'ajoute le désespoir de l'abandon et de la destruction (pillages, bombardements) de leur foyer. 2 millions d’enfants ukrainiens partent alors se réfugier en Pologne, Moldavie, Hongrie, Roumanie, Slovaquie, République tchèque mais aussi Europe de l'Ouest. Ces enfants ont besoin de TOUT ! Le projet consiste à fournir soins médicaux d'urgence, soutien alimentaire, kits d'hygiène, vêtements chauds, couvertures, soutien psychologique, lieux de repos sécurisés, aide à la recherche de membres de leur famille, mise en relation avec leurs proches...     Dans ce contexte, l'ONG Hope & Homes for Children s'investit dans les "Blue Dots". Ces Points Bleus sont des espaces sécurisés créés par l'Unicef avec le HCR (l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés) et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance. Ils gèrent le flot continu de milliers d'enfants réfugiés (accueil, identification, enregistrement).     En 2023, La Petite Etoile s'investit avec son partenaire Hope & Homes for Children et fournit kits d'urgence, bilans médicaux, soins nécessaires, médicaments, etc…aux enfants ukrainiens réfugiés dans 4 régions de Roumanie : à Brasov, Sibiu, Cluj et Maramures.   Budget total : 220 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Hope and Homes for Children, Unicef Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : ?

Chaque minute, près de 10 enfants ukrainiens sont arrachés à leur foyer. Depuis le 24 février 2022, la guerre a obligé plus de 4 millions d’enfants a fuir leur domicile (source UNICEF). De nombreux parents décident alors d’envoyer leurs enfants en sécurité à l'étranger. Mais la loi martiale impose à tous les hommes de 18 à 60 ans de rester au pays pour se battre. Les enfants quittent donc l'Ukraine soit seuls soit accompagnés par les femmes de la famille. Pour échapper au danger imminent, la plupart partent en catastrophe. Dans l'urgence, ils laissent derrière eux tous leurs biens matériels. A la détresse de leur exode s'ajoute le désespoir de l'abandon et de la destruction (pillages, bombardements) de leur foyer. 2 millions d’enfants ukrainiens partent alors se réfugier en Pologne, Moldavie, Hongrie, Roumanie, Slovaquie, République tchèque mais aussi Europe de l'Ouest. Ces enfants ont besoin de TOUT ! Le projet consiste à fournir soins médicaux d'urgence, soutien alimentaire, kits d'hygiène, vêtements chauds, couvertures, soutien psychologique, lieux de repos sécurisés, aide à la recherche de membres de leur famille, mise en relation avec leurs proches...     Dans ce contexte, l'ONG Hope & Homes for Children s'investit dans les "Blue Dots". Ces Points Bleus sont des espaces sécurisés créés par l'Unicef avec le HCR (l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés) et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance. Ils gèrent le flot continu de milliers d'enfants réfugiés (accueil, identification, enregistrement).     En 2023, La Petite Etoile s'investit avec son partenaire Hope & Homes for Children et fournit kits d'urgence, bilans médicaux, soins nécessaires, médicaments, etc…aux enfants ukrainiens réfugiés dans 4 régions de Roumanie : à Brasov, Sibiu, Cluj et Maramures.   Budget total : 220 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Hope and Homes for Children, Unicef Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : ?

2021/22 : Maison des Parents à Kinshasa

L'unité d'oncologie pédiatrique des Cliniques Universitaires de Kinshasa (Congo RDC) accueille des enfants atteints de cancer. Le projet consiste à augmenter les chances de guérison de ces enfants grâce à la présence des parents pendant toute la durée des soins. Des financements caritatifs ont permis l'achat d'une maison à Kinshasa (commune de Mont-Ngafula). Cette maison a été rénovée par une association locale, qui a dû résoudre 2 problèmes majeurs : - À Kinshasa, les coupures d'électricité sont fréquentes (plusieurs fois par jour et notamment le soir). Les chambres sont plongées dans le noir et les soins aux enfants s'en trouvent impactés. L'association a alors acheté et installé des panneaux photovoltaïques et un groupe électrogène. - Fin 2021, la commune de Mont-Ngafula a été coupée du réseau d'eau potable. Grâce à un 2° financement caritatif, un forage dans la nappe phréatique du fleuve Congo a été créé. L'eau potable est maintenant de nouveau disponible. Aujourd'hui, la Maison des Parents accueille les familles pendant la durée des traitements et parfois aussi les enfants eux-mêmes entre deux cures.   Budget total : 20 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Fondation AB CFAO, ROTARY CLUB. Budget apporté par la Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : décembre 2022

L'unité d'oncologie pédiatrique des Cliniques Universitaires de Kinshasa (Congo RDC) accueille des enfants atteints de cancer. Le projet consiste à augmenter les chances de guérison de ces enfants grâce à la présence des parents pendant toute la durée des soins. Des financements caritatifs ont permis l'achat d'une maison à Kinshasa (commune de Mont-Ngafula). Cette maison a été rénovée par une association locale, qui a dû résoudre 2 problèmes majeurs : - À Kinshasa, les coupures d'électricité sont fréquentes (plusieurs fois par jour et notamment le soir). Les chambres sont plongées dans le noir et les soins aux enfants s'en trouvent impactés. L'association a alors acheté et installé des panneaux photovoltaïques et un groupe électrogène. - Fin 2021, la commune de Mont-Ngafula a été coupée du réseau d'eau potable. Grâce à un 2° financement caritatif, un forage dans la nappe phréatique du fleuve Congo a été créé. L'eau potable est maintenant de nouveau disponible. Aujourd'hui, la Maison des Parents accueille les familles pendant la durée des traitements et parfois aussi les enfants eux-mêmes entre deux cures.   Budget total : 20 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Fondation AB CFAO, ROTARY CLUB. Budget apporté par la Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : décembre 2022

2021/22 : Ecole au Togo

Au Togo, l'un des 25 pays les plus pauvres de la planète, le quart des élèves abandonnent l’école avant la fin du primaire. Les enfants y vont à pied (parfois plus de 10 kilomètres) et souffrent souvent de malnutrition, ce qui a un impact négatif sur leur capacité d’attention. Le projet consiste à créer une cantine et un jardin maraicher au sein de l’école pour la fournir en légumes frais de façon à offrir un petit déjeuner et un déjeuner aux 152 élèves de 6 à 13 ans du village de Gbagban-Kondji (1 430 habitants) à 1h30 de la capitale Lomé. La cantine scolaire prévue a été constituée de 3 bâtiments : un magasin pour les produits alimentaires et les récoltes, une cuisine pour la préparation des repas par les 5 cuisinières bénévoles et un hangar pour la distribution des deux repas quotidiens. Le jardin maraîcher prévu a été installé sur une parcelle de 200 m² cédée gratuitement par les autorités villageoises et alimentée gratuitement en eau par l’Etat togolais. L'entretien du jardin est assuré par une dizaine de femmes bénévoles du village.            L’achat des produits nécessaires à la cuisine (huile, sel…) est renouvelé grâce à une contribution financière demandée aux parents d’élèves fixée à 10 francs CFA (un centime d’euro et demi) par élève pour les 2 repas. Par comparaison, une sucette coûte 25 francs CFA au Togo. Ce montant a été déterminé pour rester accessible à tous et en tenant compte du coût de revient des repas qui s’élève à 125 francs CFA (soit 0,19 €) par jour (50 francs pour le petit déjeuner et 75 francs pour le déjeuner), en sachant que la grande majorité des 152 élèves inscrits actuellement à l’école bénéficieront des repas (soit 1 500 francs CFA de recettes estimées).             Fin 2022, l'ensemble de la surface de 1200 mètres carrés du jardin maraicher scolaire a été mis en culture et produit désormais du maïs et des légumes dont une partie des récoltes est mise en vente, ce qui apporte des recettes financières supplémentaires à la cantine scolaire. D'autre part, la cantine vient d'obtenir l'agrément du Ministère Togolais du Développement à la Base, de la Jeunesse et de l'Emploi des Jeunes pour faire partie des cantines recevant une subvention de l'Etat, calculée selon le nombre de repas servis. La présence du jardin, de latrines scolaires et d'un bâtiment de qualité comme celui construit grâce à l'aide de La Fondation La Petite Etoile ont été des éléments déterminants au moment de la décision du ministère. Budget Total : 18 000 € Co-participants: Fondation La Petite Etoile, Association française CIELO, Association togolaise APMRPD. Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : juillet 2022.

Au Togo, l'un des 25 pays les plus pauvres de la planète, le quart des élèves abandonnent l’école avant la fin du primaire. Les enfants y vont à pied (parfois plus de 10 kilomètres) et souffrent souvent de malnutrition, ce qui a un impact négatif sur leur capacité d’attention. Le projet consiste à créer une cantine et un jardin maraicher au sein de l’école pour la fournir en légumes frais de façon à offrir un petit déjeuner et un déjeuner aux 152 élèves de 6 à 13 ans du village de Gbagban-Kondji (1 430 habitants) à 1h30 de la capitale Lomé. La cantine scolaire prévue a été constituée de 3 bâtiments : un magasin pour les produits alimentaires et les récoltes, une cuisine pour la préparation des repas par les 5 cuisinières bénévoles et un hangar pour la distribution des deux repas quotidiens. Le jardin maraîcher prévu a été installé sur une parcelle de 200 m² cédée gratuitement par les autorités villageoises et alimentée gratuitement en eau par l’Etat togolais. L'entretien du jardin est assuré par une dizaine de femmes bénévoles du village.            L’achat des produits nécessaires à la cuisine (huile, sel…) est renouvelé grâce à une contribution financière demandée aux parents d’élèves fixée à 10 francs CFA (un centime d’euro et demi) par élève pour les 2 repas. Par comparaison, une sucette coûte 25 francs CFA au Togo. Ce montant a été déterminé pour rester accessible à tous et en tenant compte du coût de revient des repas qui s’élève à 125 francs CFA (soit 0,19 €) par jour (50 francs pour le petit déjeuner et 75 francs pour le déjeuner), en sachant que la grande majorité des 152 élèves inscrits actuellement à l’école bénéficieront des repas (soit 1 500 francs CFA de recettes estimées).             Fin 2022, l'ensemble de la surface de 1200 mètres carrés du jardin maraicher scolaire a été mis en culture et produit désormais du maïs et des légumes dont une partie des récoltes est mise en vente, ce qui apporte des recettes financières supplémentaires à la cantine scolaire. D'autre part, la cantine vient d'obtenir l'agrément du Ministère Togolais du Développement à la Base, de la Jeunesse et de l'Emploi des Jeunes pour faire partie des cantines recevant une subvention de l'Etat, calculée selon le nombre de repas servis. La présence du jardin, de latrines scolaires et d'un bâtiment de qualité comme celui construit grâce à l'aide de La Fondation La Petite Etoile ont été des éléments déterminants au moment de la décision du ministère. Budget Total : 18 000 € Co-participants: Fondation La Petite Etoile, Association française CIELO, Association togolaise APMRPD. Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : juillet 2022.

2021/22 : Animations à l'hôpital

En France, 1 enfant sur 100 naît avec une malformation cardiaque. 20 enfants par jour ! Le cœur d’un nourrisson bat environ 200 000 fois en 24 heures. Mais parfois, cette formidable mécanique est entravée par une cardiopathie congénitale. Ce genre d'anomalie qui survient pendant la vie intra-utérine, nécessite une prise en charge hospitalière rapide. La plupart de ces cardiopathies sont opérées avant l'âge de 4 ou 5 ans. Certaines dès la naissance. Le traitement de ces malformations est chirurgical. Mais pour pouvoir opérer à l'intérieur du cœur, il faut le vider de son sang et arrêter ses battements. Les chirurgiens utilisent alors un coeur-poumon artificiel qui établit une circulation extra-corporelle. Pour l'enfant, l'hospitalisation signifie changement d'environnement, apparition de visages inconnus, soins inhabituels (prises de sang, radiographies, ECG, …), perception de l'inquiétude des parents. Soit beaucoup de déstabilisation et d'angoisse. Le projet consiste à combattre la peur, la douleur et l'ennui de l'enfant. La peur : dans l’environnement hospitalier les règles sont différentes, les événements sont imprévisibles et les instruments utilisés pour les soins souvent impressionnants. L'enfant doit gérer sa peur de l’inconnu, le manque d’information et de prévisibilité, une sensation d’insécurité, qui sont autant d’éléments angoissants. La douleur : les soins (injections, transfusions, ponctions, …) provoquent de la douleur et engendrent de l'appréhension. L'ennui : l'enfant se retrouve dans un lit, immobile, sans activité récréative, sans distraction, pas ou peu de visites. D'où un ennui fortement ressenti. Or entre 4 et 12 ans, l’enfant est en plein développement social, cognitif et affectif (début de l’école, nouvelles activités, apprentissage de la vie en groupe ...). Les enfants peuvent cependant y échapper à travers des jeux, des activités ou des visites. Éviter l’ennui à l’hôpital est un moyen d’action positive sur le vécu de la douleur. Pour combattre la peur, l'ennui et la douleur (mais aussi la tristesse et la solitude), la Fondation La Petite Etoile offre aux enfants du service de Cardiologie Pédiatrique du CHU de Bordeaux des petits moments de joie, de rire et d'insouciance. Les Clowns Stéthoscopes proposent tous les lundis des interventions personnalisées et adaptées à chaque enfant. Ils travaillent en étroite collaboration avec les équipes soignantes pour concevoir et ajuster les jeux proposés aux enfants selon leur situation. Bien qu'ils ne soient ni soignants ni thérapeutes, leur travail est reconnu dans le milieu médical et contribue au bien-être de l'enfant hospitalisé.   Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Association Petit Cœur De Beurre, Association Les Clowns Stéthoscopes Budget fourni par la Fondation La Petite Etoile : 5 000 € Fin du projet : décembre 2021   Dans le même contexte et de façon complémentaire aux traitements médicaux, la Fondation La Petite Etoile participe à la création d'ateliers de sophrologie et de socio-esthétique visant à améliorer la qualité de vie de l'enfant ou du jeune adulte durant son hospitalisation, tant sur le plan physique et psychologique que moral. Les bienfaits de ces ateliers sont nombreux : la sophrologie permet notamment une meilleure gestion de la douleur physique et du stress. Elle donne les armes nécessaires pour mieux vivre les moments difficiles de la maladie. La socio-esthétique, quant à elle, offre aux patients des soins esthétiques et un véritable moment de détente pour qu'ils puissent prendre soin d'eux. Cette approche vise à améliorer et valoriser leur estime de soi qui peut parfois être au plus bas. Ces ateliers ont été mis en place au CHU de Nantes.   Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Association Petit Cœur De Beurre Budget apporté par la Fondation La Petite Etoile : 1 000 € Fin du projet : juin 2022

En France, 1 enfant sur 100 naît avec une malformation cardiaque. 20 enfants par jour ! Le cœur d’un nourrisson bat environ 200 000 fois en 24 heures. Mais parfois, cette formidable mécanique est entravée par une cardiopathie congénitale. Ce genre d'anomalie qui survient pendant la vie intra-utérine, nécessite une prise en charge hospitalière rapide. La plupart de ces cardiopathies sont opérées avant l'âge de 4 ou 5 ans. Certaines dès la naissance. Le traitement de ces malformations est chirurgical. Mais pour pouvoir opérer à l'intérieur du cœur, il faut le vider de son sang et arrêter ses battements. Les chirurgiens utilisent alors un coeur-poumon artificiel qui établit une circulation extra-corporelle. Pour l'enfant, l'hospitalisation signifie changement d'environnement, apparition de visages inconnus, soins inhabituels (prises de sang, radiographies, ECG, …), perception de l'inquiétude des parents. Soit beaucoup de déstabilisation et d'angoisse. Le projet consiste à combattre la peur, la douleur et l'ennui de l'enfant. La peur : dans l’environnement hospitalier les règles sont différentes, les événements sont imprévisibles et les instruments utilisés pour les soins souvent impressionnants. L'enfant doit gérer sa peur de l’inconnu, le manque d’information et de prévisibilité, une sensation d’insécurité, qui sont autant d’éléments angoissants. La douleur : les soins (injections, transfusions, ponctions, …) provoquent de la douleur et engendrent de l'appréhension. L'ennui : l'enfant se retrouve dans un lit, immobile, sans activité récréative, sans distraction, pas ou peu de visites. D'où un ennui fortement ressenti. Or entre 4 et 12 ans, l’enfant est en plein développement social, cognitif et affectif (début de l’école, nouvelles activités, apprentissage de la vie en groupe ...). Les enfants peuvent cependant y échapper à travers des jeux, des activités ou des visites. Éviter l’ennui à l’hôpital est un moyen d’action positive sur le vécu de la douleur. Pour combattre la peur, l'ennui et la douleur (mais aussi la tristesse et la solitude), la Fondation La Petite Etoile offre aux enfants du service de Cardiologie Pédiatrique du CHU de Bordeaux des petits moments de joie, de rire et d'insouciance. Les Clowns Stéthoscopes proposent tous les lundis des interventions personnalisées et adaptées à chaque enfant. Ils travaillent en étroite collaboration avec les équipes soignantes pour concevoir et ajuster les jeux proposés aux enfants selon leur situation. Bien qu'ils ne soient ni soignants ni thérapeutes, leur travail est reconnu dans le milieu médical et contribue au bien-être de l'enfant hospitalisé.   Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Association Petit Cœur De Beurre, Association Les Clowns Stéthoscopes Budget fourni par la Fondation La Petite Etoile : 5 000 € Fin du projet : décembre 2021   Dans le même contexte et de façon complémentaire aux traitements médicaux, la Fondation La Petite Etoile participe à la création d'ateliers de sophrologie et de socio-esthétique visant à améliorer la qualité de vie de l'enfant ou du jeune adulte durant son hospitalisation, tant sur le plan physique et psychologique que moral. Les bienfaits de ces ateliers sont nombreux : la sophrologie permet notamment une meilleure gestion de la douleur physique et du stress. Elle donne les armes nécessaires pour mieux vivre les moments difficiles de la maladie. La socio-esthétique, quant à elle, offre aux patients des soins esthétiques et un véritable moment de détente pour qu'ils puissent prendre soin d'eux. Cette approche vise à améliorer et valoriser leur estime de soi qui peut parfois être au plus bas. Ces ateliers ont été mis en place au CHU de Nantes.   Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Association Petit Cœur De Beurre Budget apporté par la Fondation La Petite Etoile : 1 000 € Fin du projet : juin 2022

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1° semestre 2021

Envoi des appels à projet pour l'année en cours                     Réception des dossiers de demande de financement Réunion du premier comité exécutif Examen des dossiers, arbitrages et choix définitifs Décision de participer à 3 projets : 1/ le financement d'animations à l'hôpital (hôpitaux de Nantes et de Bordeaux) en faveur d'enfants nés avec une cardiopathie congénitale (en partenariat avec l'association Petit Cœur De Beurre) 2/ le co-financement de la construction d'une cantine et d'un jardin potager en faveur des enfants de l'école élémentaire de Gbagban-Kondji au Togo (en partenariat avec l'association CIELO Coopération Internationale pour les Equilibres Locaux) 3/ le co-financement des frais de fonctionnement d'une Maison des Parents en faveur des familles d'enfants atteints de cancer à Kinshasa au Congo RDC (en partenariat avec l'association GFAOP - Institut Gustave Roussy et le ROTARY CLUB) Déblocage de la première tranche des financements des 3 projets.

Envoi des appels à projet pour l'année en cours                     Réception des dossiers de demande de financement Réunion du premier comité exécutif Examen des dossiers, arbitrages et choix définitifs Décision de participer à 3 projets : 1/ le financement d'animations à l'hôpital (hôpitaux de Nantes et de Bordeaux) en faveur d'enfants nés avec une cardiopathie congénitale (en partenariat avec l'association Petit Cœur De Beurre) 2/ le co-financement de la construction d'une cantine et d'un jardin potager en faveur des enfants de l'école élémentaire de Gbagban-Kondji au Togo (en partenariat avec l'association CIELO Coopération Internationale pour les Equilibres Locaux) 3/ le co-financement des frais de fonctionnement d'une Maison des Parents en faveur des familles d'enfants atteints de cancer à Kinshasa au Congo RDC (en partenariat avec l'association GFAOP - Institut Gustave Roussy et le ROTARY CLUB) Déblocage de la première tranche des financements des 3 projets.