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2023/24 : Prévention et prise en charge d'enfants souffrant de noma au Burkina-Faso

Le noma est une maladie aux conséquences dévastatrices. C’est une infection gangreneuse foudroyante qui s’attaque à la bouche et au visage des enfants en ravageant les tissus et les os. Le noma a été déclaré problème de santé publique par l’OMS et maladie prioritaire pour l’Afrique. Il fait partie des pathologies classées par l’OMS comme le 4° fléau mondial après le paludisme, le sida et les maladies cardio vasculaires. Le noma (le terme vient du grec et signifie “dévorer”) commence par une lésion à l’intérieur de la bouche. Cette lésion se propage rapidement, détruit les tissus, attaque l’os et finit par faire un trou, mettant les dents et les os à nu et gangrenant tout le visage. Survient alors l’anorexie, l’apathie et la mort par septicémie ou déshydratation grave. Le noma touche principalement les enfants de 2 à 6 ans souffrant de malnutrition, immunodéprimés, vivant dans l’extrême pauvreté avec de mauvaises conditions de vie et une mauvaise hygiène buccale. Le noma est souvent appelé « le visage de la pauvreté ». En l’absence d’une prise en charge rapide, le pronostic vital est engagé en 3 ou 4 jours et 90% des enfants décèdent en moins de 2 semaines. Les rares enfants survivants gardent des séquelles douloureuses, des mutilations faciales, des difficultés à parler et à manger et sont confrontés à une véritable stigmatisation sociale. Dans tous les cas, l'enfant est défiguré.  Pourtant, lorsqu'elle est détectée tôt, la maladie peut être rapidement stoppée, soit par des gestes simples d’hygiène, soit par des antibiotiques. Cette détection précoce suivie d’une prise en charge rapide est décisive pour l’enfant touché et peut lui sauver la vie. Le noma peut être évité grâce à des gestes simples, accessibles à tous ! Aujourd’hui le noma est essentiellement présent en Afrique sub-saharienne (140 000 nouveaux cas estimés/an) et plus particulièrement au Burkina Faso. L’agent causal du noma reste inconnu.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet dont le but est d’apporter une réponse médicale aux enfants atteints de noma. Mais aussi d’assurer par des médecins bénévoles, le renforcement des compétences des médecins locaux. La difficulté est aussi de lutter contre les idées fausses particulièrement répandues en brousse : le noma n’est pas une maladie contagieuse, il n’est pas dû à la sorcellerie ni à une malédiction contre les parents Lieu d’intervention : CHU de Bogodogo à Ouagadougou, capitale du Burkina-Faso. Budget : 64 600 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, La Chaîne de l’Espoir, Fondation Sentinelle, Association Bilaadga, Radio communautaire La Voix du Paysan. Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 €

Le noma est une maladie aux conséquences dévastatrices. C’est une infection gangreneuse foudroyante qui s’attaque à la bouche et au visage des enfants en ravageant les tissus et les os. Le noma a été déclaré problème de santé publique par l’OMS et maladie prioritaire pour l’Afrique. Il fait partie des pathologies classées par l’OMS comme le 4° fléau mondial après le paludisme, le sida et les maladies cardio vasculaires. Le noma (le terme vient du grec et signifie “dévorer”) commence par une lésion à l’intérieur de la bouche. Cette lésion se propage rapidement, détruit les tissus, attaque l’os et finit par faire un trou, mettant les dents et les os à nu et gangrenant tout le visage. Survient alors l’anorexie, l’apathie et la mort par septicémie ou déshydratation grave. Le noma touche principalement les enfants de 2 à 6 ans souffrant de malnutrition, immunodéprimés, vivant dans l’extrême pauvreté avec de mauvaises conditions de vie et une mauvaise hygiène buccale. Le noma est souvent appelé « le visage de la pauvreté ». En l’absence d’une prise en charge rapide, le pronostic vital est engagé en 3 ou 4 jours et 90% des enfants décèdent en moins de 2 semaines. Les rares enfants survivants gardent des séquelles douloureuses, des mutilations faciales, des difficultés à parler et à manger et sont confrontés à une véritable stigmatisation sociale. Dans tous les cas, l'enfant est défiguré.  Pourtant, lorsqu'elle est détectée tôt, la maladie peut être rapidement stoppée, soit par des gestes simples d’hygiène, soit par des antibiotiques. Cette détection précoce suivie d’une prise en charge rapide est décisive pour l’enfant touché et peut lui sauver la vie. Le noma peut être évité grâce à des gestes simples, accessibles à tous ! Aujourd’hui le noma est essentiellement présent en Afrique sub-saharienne (140 000 nouveaux cas estimés/an) et plus particulièrement au Burkina Faso. L’agent causal du noma reste inconnu.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet dont le but est d’apporter une réponse médicale aux enfants atteints de noma. Mais aussi d’assurer par des médecins bénévoles, le renforcement des compétences des médecins locaux. La difficulté est aussi de lutter contre les idées fausses particulièrement répandues en brousse : le noma n’est pas une maladie contagieuse, il n’est pas dû à la sorcellerie ni à une malédiction contre les parents Lieu d’intervention : CHU de Bogodogo à Ouagadougou, capitale du Burkina-Faso. Budget : 64 600 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, La Chaîne de l’Espoir, Fondation Sentinelle, Association Bilaadga, Radio communautaire La Voix du Paysan. Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 €

2023/24 : Soutien psycho-social aux enfants ukrainiens réfugiés en Pologne

En moyenne, chaque jour, plus de 5 enfants sont tués ou blessés en Ukraine, 1 500 depuis le début de la guerre (ONU). Derrière chaque mort se cache une tragédie humaine incommensurable. Les conséquences de la guerre sont pourtant loin de s’arrêter aux blessures physiques. La guerre a également un impact dévastateur sur la santé mentale des enfants qui vivent constamment sous le spectre de la violence, qui mène à la dépression et à l'anxiété. 75% des écoliers ukrainiens souffrent de stress et 26% des adolescents ukrainiens ont un syndrome de stress post-traumatique (UNESCO). Et 45 % des parents ukrainiens disent que leur plus grande crainte est la détérioration de la santé mentale de leurs enfants (UNICEF). Les enfants d’Ukraine souffrent aussi du manque de liens sociaux. Car des millions d’Ukrainiens ont dû fuir pour sauver leur vie. Et depuis le 24 avril 2022, près de 600 000 enfants ukrainiens sont réfugiés en Pologne. L’incertitude à laquelle sont confrontés ces enfants a des répercussions sérieuses sur leur santé physique et mentale. De plus, ils ont été ou ils sont privés d’éducation. Or l'éducation joue un rôle primordial en leur redonnant un sentiment de normalité, d’espoir et de stabilité. Leurs vies ont été détruites et on doit donner la priorité à leur santé mentale et à leur éducation afin d'éviter de sacrifier toute une génération. Face au choc que provoquent ces déplacements de population, de nombreux enfants ont donc besoin de soutien psychologique pour surmonter ce qu’ils vivent et les aider à se remettre du traumatisme et de la détresse émotionnelle induits par la guerre.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet dont l’objectif est de fournir un soutien psychosocial renforcé aux enfants réfugiés mais également de favoriser leur intégration sociale. Le projet porte sur 250 enfants ukrainiens, âgés entre 0 et 15 ans et réfugiés en Pologne. Lieu d’intervention : localités de Cracovie et de Wielizcka en Pologne Budget : 116 350 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Enfants Réseau Monde, Interactions & Solidarity, Fondation de France, Humacoop-Amel, Fundacja Wolno Nam Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 €

En moyenne, chaque jour, plus de 5 enfants sont tués ou blessés en Ukraine, 1 500 depuis le début de la guerre (ONU). Derrière chaque mort se cache une tragédie humaine incommensurable. Les conséquences de la guerre sont pourtant loin de s’arrêter aux blessures physiques. La guerre a également un impact dévastateur sur la santé mentale des enfants qui vivent constamment sous le spectre de la violence, qui mène à la dépression et à l'anxiété. 75% des écoliers ukrainiens souffrent de stress et 26% des adolescents ukrainiens ont un syndrome de stress post-traumatique (UNESCO). Et 45 % des parents ukrainiens disent que leur plus grande crainte est la détérioration de la santé mentale de leurs enfants (UNICEF). Les enfants d’Ukraine souffrent aussi du manque de liens sociaux. Car des millions d’Ukrainiens ont dû fuir pour sauver leur vie. Et depuis le 24 avril 2022, près de 600 000 enfants ukrainiens sont réfugiés en Pologne. L’incertitude à laquelle sont confrontés ces enfants a des répercussions sérieuses sur leur santé physique et mentale. De plus, ils ont été ou ils sont privés d’éducation. Or l'éducation joue un rôle primordial en leur redonnant un sentiment de normalité, d’espoir et de stabilité. Leurs vies ont été détruites et on doit donner la priorité à leur santé mentale et à leur éducation afin d'éviter de sacrifier toute une génération. Face au choc que provoquent ces déplacements de population, de nombreux enfants ont donc besoin de soutien psychologique pour surmonter ce qu’ils vivent et les aider à se remettre du traumatisme et de la détresse émotionnelle induits par la guerre.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet dont l’objectif est de fournir un soutien psychosocial renforcé aux enfants réfugiés mais également de favoriser leur intégration sociale. Le projet porte sur 250 enfants ukrainiens, âgés entre 0 et 15 ans et réfugiés en Pologne. Lieu d’intervention : localités de Cracovie et de Wielizcka en Pologne Budget : 116 350 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Enfants Réseau Monde, Interactions & Solidarity, Fondation de France, Humacoop-Amel, Fundacja Wolno Nam Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 €

2023/24 : Construction et équipement de salles de classe au Togo

Selon le dernier rapport de l'ONU, le Togo fait partie des 25 pays les plus pauvres du monde. Dans le petit village de brousse d'Amegnona-Kondji, relié au chef lieu de préfecture Tabligbo par une mauvaise piste de 8 kms (impraticable en saison des pluies), les parents d'élèves se sont retroussés les manches et ont créé de toutes pièces un collège. En 2019, ils ont construit une paillotte (apatam en langue locale) pour servir de classe de 6°, puis en 2020, 2 paillottes supplémentaires (classes de 5° et 4°), puis en 2021, une dernière paillotte (classe de 3°). Le dynamisme et la pugnacité de ces parents d'élèves a permis au collège de recevoir, en 2021, l'agrément officiel du ministère de tutelle. Malheureusement les élèves étudient dans des conditions spartiates : les paillotes sont en terre battue, prennent l'eau en saison des pluies et restent inflammables en saison sèche. Les tableaux noirs sont endommagés ou absents. Les pupitres de 2 places sont insuffisants ce qui oblige les élèves à se serrer à 3 ou 4 sur un même banc. Les professeurs n'ont ni bureau ni chaise. Le matériel pédagogique est inexistant. Il n'y a pas accès à l'eau potable et les salles de classe sont éclairées par une seule ampoule que le directeur a branché par ses propres moyens sur un panneau photovoltaïque voisin. Ceci permet aux élèves de venir faire leurs devoirs la nuit à l'école puisqu'ils ne possèdent pas l'électricité à la maison.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet qui consiste à construire 2 salles de classes neuves en matériaux pérennes d'une superficie de 65 m2 chacune pour y accueillir les élèves de 4° et de 3°. Chaque salle de classe sera équipée de 20 pupitres doubles (fabriqués sur place) pouvant accueillir 40 élèves, de 2 tableaux noirs et d'un bureau avec chaise pour le professeur.   Lieu d'intervention : village d'Amegnona-Kondji au Togo Budget : 34 000 € Co-Participants : Fondation La Petite Etoile, Fondation Stéphane Hessel, Fondation Syndex, Fondation UEFA pour l'enfance, Fondation Bardon, Fondation Geotec, Fonds de dotation Timshel, Coopération pour les Organismes locaux (CIELO), Association pour la Promotion du Monde Rural et des Personnes Déshéritées (APMRPD). Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 5 000 €  

Selon le dernier rapport de l'ONU, le Togo fait partie des 25 pays les plus pauvres du monde. Dans le petit village de brousse d'Amegnona-Kondji, relié au chef lieu de préfecture Tabligbo par une mauvaise piste de 8 kms (impraticable en saison des pluies), les parents d'élèves se sont retroussés les manches et ont créé de toutes pièces un collège. En 2019, ils ont construit une paillotte (apatam en langue locale) pour servir de classe de 6°, puis en 2020, 2 paillottes supplémentaires (classes de 5° et 4°), puis en 2021, une dernière paillotte (classe de 3°). Le dynamisme et la pugnacité de ces parents d'élèves a permis au collège de recevoir, en 2021, l'agrément officiel du ministère de tutelle. Malheureusement les élèves étudient dans des conditions spartiates : les paillotes sont en terre battue, prennent l'eau en saison des pluies et restent inflammables en saison sèche. Les tableaux noirs sont endommagés ou absents. Les pupitres de 2 places sont insuffisants ce qui oblige les élèves à se serrer à 3 ou 4 sur un même banc. Les professeurs n'ont ni bureau ni chaise. Le matériel pédagogique est inexistant. Il n'y a pas accès à l'eau potable et les salles de classe sont éclairées par une seule ampoule que le directeur a branché par ses propres moyens sur un panneau photovoltaïque voisin. Ceci permet aux élèves de venir faire leurs devoirs la nuit à l'école puisqu'ils ne possèdent pas l'électricité à la maison.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet qui consiste à construire 2 salles de classes neuves en matériaux pérennes d'une superficie de 65 m2 chacune pour y accueillir les élèves de 4° et de 3°. Chaque salle de classe sera équipée de 20 pupitres doubles (fabriqués sur place) pouvant accueillir 40 élèves, de 2 tableaux noirs et d'un bureau avec chaise pour le professeur.   Lieu d'intervention : village d'Amegnona-Kondji au Togo Budget : 34 000 € Co-Participants : Fondation La Petite Etoile, Fondation Stéphane Hessel, Fondation Syndex, Fondation UEFA pour l'enfance, Fondation Bardon, Fondation Geotec, Fonds de dotation Timshel, Coopération pour les Organismes locaux (CIELO), Association pour la Promotion du Monde Rural et des Personnes Déshéritées (APMRPD). Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 5 000 €  

2023/24 : Recherche et essais de traitement à l'hôpital Necker pour enfants amputés souffrant de douleur fantôme

Chaque année en France, 9000 enfants subissent l'amputation d'un membre. Chez les enfants souffrant de cancers osseux, les douleurs du membre amputé (ou douleurs du membre fantôme) sont fréquentes et difficiles à traiter. Ces enfants connaissent la triple peine  : ils ont un cancer, ils ont été amputés d'un membre et le membre amputé continue de les faire souffrir. Grâce à la recherche fondamentale, 2 équipes médicales de l'hôpital Necker à Paris ont découvert une molécule capable de prévenir les douleurs fantômes et ont réalisé une étude pilote avec des enfants amputés. Les résultats de cette étude sont significatifs : sur 60 enfants, les douleurs ont quasiment disparu sans aucun effet secondaire.   La douleur moyenne de ces enfants est passée de 6 /10 avant la mise en route du traitement à 0,8 /10 en un mois. Il est essentiel de lancer une étude randomisée contre placebo pour confirmer l'hypothèse des chercheurs et l'utilisation d'un traitement topique à base d'Amitriptyline (AMT). Cette molécule est d'habitude utilisée par voie orale dans le traitement de la dépression.  Ici les essais se feront avec l'AMT sous forme de crème et concerneront un échantillon plus large au sein de l'Hôpital Necker.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet de recherche clinique dont le but est de comprendre les mécanismes de la douleur fantôme chez les enfants cancéreux qui ont subi l'amputation d'un membre. Lieu d'intervention : Hôpital Necker Enfants malades. Budget : 60 000 €/ an sur 3 ans Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Fondation AnBer, Fondation Lifento, Donateurs privés, Institut imagine, Hôpital Necker. Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 €

Chaque année en France, 9000 enfants subissent l'amputation d'un membre. Chez les enfants souffrant de cancers osseux, les douleurs du membre amputé (ou douleurs du membre fantôme) sont fréquentes et difficiles à traiter. Ces enfants connaissent la triple peine  : ils ont un cancer, ils ont été amputés d'un membre et le membre amputé continue de les faire souffrir. Grâce à la recherche fondamentale, 2 équipes médicales de l'hôpital Necker à Paris ont découvert une molécule capable de prévenir les douleurs fantômes et ont réalisé une étude pilote avec des enfants amputés. Les résultats de cette étude sont significatifs : sur 60 enfants, les douleurs ont quasiment disparu sans aucun effet secondaire.   La douleur moyenne de ces enfants est passée de 6 /10 avant la mise en route du traitement à 0,8 /10 en un mois. Il est essentiel de lancer une étude randomisée contre placebo pour confirmer l'hypothèse des chercheurs et l'utilisation d'un traitement topique à base d'Amitriptyline (AMT). Cette molécule est d'habitude utilisée par voie orale dans le traitement de la dépression.  Ici les essais se feront avec l'AMT sous forme de crème et concerneront un échantillon plus large au sein de l'Hôpital Necker.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet de recherche clinique dont le but est de comprendre les mécanismes de la douleur fantôme chez les enfants cancéreux qui ont subi l'amputation d'un membre. Lieu d'intervention : Hôpital Necker Enfants malades. Budget : 60 000 €/ an sur 3 ans Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Fondation AnBer, Fondation Lifento, Donateurs privés, Institut imagine, Hôpital Necker. Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 €

2022/23 : Art-thérapie pour enfants hospitalisés à l'hôpital Necker pour une greffe de moelle osseuse

En France, chaque année, 250 enfants atteints de cancer bénéficient d'une greffe de moelle osseuse. La greffe de moelle osseuse est utilisée dans les cas de maladie grave du sang (aplasie médullaire, myélome, lymphome, leucémie) ou de maladie héréditaire (drépanocytose, thalassémie). Pour les parents comme pour l'enfant (très sensible au stress des parents), l'annonce de la greffe est un moment d'angoisse. Parce que les risques ne sont jamais anodins. Parce que le pronostic vital de l'enfant est parfois engagé. Parce que les conditions sanitaires imposent à l'enfant un isolement total. Pour l'enfant, c'est un changement radical d'univers. Il est dans une chambre stérile dont il ne peut pas sortir. Les visites sont limitées (interdites aux frères et sœurs) et soumises à des règles strictes. L'apparence des proches disparaît sous la blouse, le chapeau, le masque et parfois les gants. Pour la greffe, il passe dans une chambre sous flux laminaire, encore mieux protégée. Après l'intervention, il reste quelques jours dans une unité de soins intensifs, puis il retourne dans la chambre stérile où il reste au minimum 3 mois pour la rééducation. Pendant cette période, l'enfant est sous surveillance médicale continue dans un contexte stressant (entrées-sorties fréquentes des soignants, bips des alarmes, bruit du monitoring, du respirateur, de la pompe à perfusion …). Pour certains enfants cloués dans leur lit, cette immobilité physique entraine une immobilité psychique et une incapacité à penser. Ils n'arrivent plus à se projeter, à avoir des projets à court ou long terme. Pour d’autres, cette immobilité vient chambouler les repères de vie quotidienne. Elle entraine une effervescence de la pensée avec des idées qui tournent en boucle et génèrent de l’inquiétude voire une anxiété anticipatoire. Dans ce contexte, un soutien spécifique de l'enfant est recommandé. Le projet consiste à accompagner l'enfant greffé par l'art-thérapie. L'art-thérapie est une pratique de soins reconnue par l'OMS. Par l'intermédiaire d'un processus créatif (peinture, collage, gribouillage, modelage, photo, écriture, contes, etc…) on apporte à l'enfant malade de l'énergie, de l'élan vital et l'occasion d'exprimer ce qu'il a au plus profond de lui-même. En stimulant son énergie intérieure et ses ressources personnelles, on maximise l’effet des traitements. En lui permettant de maintenir sa curiosité et son imaginaire, on l'aide à mieux gérer ses émotions. Il continue à grandir et à se construire malgré (ou avec) la maladie. On réduit ainsi l’anxiété de l'enfant. C'est une reconnexion avec la richesse de sa vie. Une pause heureuse dans ses journées de traitement.   Les Médecins de l'Imaginaire (ONG existant depuis 2003) proposent des séances d'art-thérapie suivant des protocoles d’intervention adaptés aux problématiques spécifiques de l’hospitalisation. Ces protocoles sont basés sur près de 20 ans d’expertise dans la maladie grave. Ils sont animés par des arts-thérapeutes diplômés ayant une connaissance poussée de la maladie et de ses processus psychologiques. Pour une meilleure fluidité de l’accompagnement, ils échangent régulièrement avec les psychologues et les infirmières sur la situation de l’enfant (fatigue ? douleurs ? présence des parents ? etc…). Ils bâtissent ainsi une alliance thérapeutique avec l’enfant, mais aussi avec les parents, prérequis fondamental pour que l’enfant puisse s'investir.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet en finançant les interventions des art-thérapeutes. Les art-thérapeutes suivent l'enfant pendant au moins 3 mois mais il n'est pas rare de suivre un enfant 5 à 6 mois (notamment lorsqu'il y a des complications liées aux risques de rejet). Parfois l’accompagnement se poursuit en service de réanimation et/ou jusqu’aux derniers moments de vie. Lieu d'intervention : Hôpital NECKER Unité Immuno Hématologie et Rhumatologie (UIHR) Budget total : 17 225 € (30 enfants) Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Médecins de l'Imaginaire Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : juillet 2023  

En France, chaque année, 250 enfants atteints de cancer bénéficient d'une greffe de moelle osseuse. La greffe de moelle osseuse est utilisée dans les cas de maladie grave du sang (aplasie médullaire, myélome, lymphome, leucémie) ou de maladie héréditaire (drépanocytose, thalassémie). Pour les parents comme pour l'enfant (très sensible au stress des parents), l'annonce de la greffe est un moment d'angoisse. Parce que les risques ne sont jamais anodins. Parce que le pronostic vital de l'enfant est parfois engagé. Parce que les conditions sanitaires imposent à l'enfant un isolement total. Pour l'enfant, c'est un changement radical d'univers. Il est dans une chambre stérile dont il ne peut pas sortir. Les visites sont limitées (interdites aux frères et sœurs) et soumises à des règles strictes. L'apparence des proches disparaît sous la blouse, le chapeau, le masque et parfois les gants. Pour la greffe, il passe dans une chambre sous flux laminaire, encore mieux protégée. Après l'intervention, il reste quelques jours dans une unité de soins intensifs, puis il retourne dans la chambre stérile où il reste au minimum 3 mois pour la rééducation. Pendant cette période, l'enfant est sous surveillance médicale continue dans un contexte stressant (entrées-sorties fréquentes des soignants, bips des alarmes, bruit du monitoring, du respirateur, de la pompe à perfusion …). Pour certains enfants cloués dans leur lit, cette immobilité physique entraine une immobilité psychique et une incapacité à penser. Ils n'arrivent plus à se projeter, à avoir des projets à court ou long terme. Pour d’autres, cette immobilité vient chambouler les repères de vie quotidienne. Elle entraine une effervescence de la pensée avec des idées qui tournent en boucle et génèrent de l’inquiétude voire une anxiété anticipatoire. Dans ce contexte, un soutien spécifique de l'enfant est recommandé. Le projet consiste à accompagner l'enfant greffé par l'art-thérapie. L'art-thérapie est une pratique de soins reconnue par l'OMS. Par l'intermédiaire d'un processus créatif (peinture, collage, gribouillage, modelage, photo, écriture, contes, etc…) on apporte à l'enfant malade de l'énergie, de l'élan vital et l'occasion d'exprimer ce qu'il a au plus profond de lui-même. En stimulant son énergie intérieure et ses ressources personnelles, on maximise l’effet des traitements. En lui permettant de maintenir sa curiosité et son imaginaire, on l'aide à mieux gérer ses émotions. Il continue à grandir et à se construire malgré (ou avec) la maladie. On réduit ainsi l’anxiété de l'enfant. C'est une reconnexion avec la richesse de sa vie. Une pause heureuse dans ses journées de traitement.   Les Médecins de l'Imaginaire (ONG existant depuis 2003) proposent des séances d'art-thérapie suivant des protocoles d’intervention adaptés aux problématiques spécifiques de l’hospitalisation. Ces protocoles sont basés sur près de 20 ans d’expertise dans la maladie grave. Ils sont animés par des arts-thérapeutes diplômés ayant une connaissance poussée de la maladie et de ses processus psychologiques. Pour une meilleure fluidité de l’accompagnement, ils échangent régulièrement avec les psychologues et les infirmières sur la situation de l’enfant (fatigue ? douleurs ? présence des parents ? etc…). Ils bâtissent ainsi une alliance thérapeutique avec l’enfant, mais aussi avec les parents, prérequis fondamental pour que l’enfant puisse s'investir.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet en finançant les interventions des art-thérapeutes. Les art-thérapeutes suivent l'enfant pendant au moins 3 mois mais il n'est pas rare de suivre un enfant 5 à 6 mois (notamment lorsqu'il y a des complications liées aux risques de rejet). Parfois l’accompagnement se poursuit en service de réanimation et/ou jusqu’aux derniers moments de vie. Lieu d'intervention : Hôpital NECKER Unité Immuno Hématologie et Rhumatologie (UIHR) Budget total : 17 225 € (30 enfants) Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Médecins de l'Imaginaire Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : juillet 2023  

2022/23 : Financement du dosage de la glycémie pour enfants diabétiques au Maroc

Au Maroc, 30 000 enfants sont atteints du diabète de type 1 (diabète insulino-dépendant) et chaque année, 3600 nouveaux cas sont répertoriés. Ce diabète est une maladie chronique, grave et incurable. Le projet consiste à aider les enfants diabétiques et leurs familles qui n'ont pas les moyens d'acheter l'insuline et les bandelettes de mesure. Explication : le pancréas sécrète de l'insuline qui favorise le stockage du sucre dans les muscles et le foie. Les enfants diabétiques ayant un déficit d’insuline, le glucose s'accumule dans le sang et ne peut plus être utilisé pour produire l'énergie nécessaire au fonctionnement des organes vitaux. Le corps le remplace alors par un autre carburant, les acides gras (lipides), ce qui entraîne la production de substances acides nocives. Les symptômes sont connus : fatigue, déshydratation, nausées, vomissements, difficultés à respirer, confusion, coma. Les complications peuvent être graves : infarctus, AVC, cécité, troubles rénaux pouvant conduire à une dialyse définitive... Chez l'enfant, le diabète est souvent diagnostiqué lors d’un épisode d’hyper-glycémie parfois mortel. L'hospitalisation doit être systématique pour effectuer un bilan complet et décider d'un traitement adapté pour maintenir un taux correct de sucre dans le sang (glycémie). Commence alors un processus d’éducation thérapeutique (enfant, parents et proches). Car l'enfant diabétique est le premier acteur de sa santé. Plus il connaît sa maladie, mieux il pourra surveiller sa glycémie et s'injecter les doses d'insuline nécessaires tout en adoptant un régime alimentaire équilibré et une activité physique régulière. Cette auto-surveillance est effectuée en prélevant une goutte de sang au bout du doigt qui, déposée sur une bandelette et lue par un appareil adapté, pourra indiquer le taux de sucre dans le sang.   Le projet est situé à Errachidia (région du Drâa, Tafilalet), à quelques kilomètres au Nord du Sahara. L'ONG Pédiatres du Monde travaille sur place avec l'association marocaine CHIFAA qui regroupe les parents de 91 enfants ayant un diabète. Des bénévoles de PDM dispensent des actions d'éducation thérapeutique à ces enfants et à leurs familles. Ce dosage de la glycémie doit se faire 4 fois par jour en notant tous les résultats afin d'optimiser les doses d'insuline. L'importance de cette contrainte n'est pas toujours perçue et doit faire l'objet d'une éducation répétée. Parmi ces 91 enfants, 64 enfants ne bénéficient que de la couverture minimale de santé marocaine (RAMED) qui ne prend pas en charge l'achat des consommables (bandelettes) nécessaires à l'équilibre de leur diabète. Or une bandelette revient à 0,25 € x 4 / jour soit 360 € / an / enfant. Certaines familles démunies ne peuvent pas prendre en charge cette dépense.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet en finançant les bandelettes de dosage permettant de suivre les glycémies des enfants   Budget total : 23 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Fondation Lama, Pédiatres du Monde, Association marocaine CHIFAA Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € (soit la prise en charge de 16 enfants pendant 1 an).

Au Maroc, 30 000 enfants sont atteints du diabète de type 1 (diabète insulino-dépendant) et chaque année, 3600 nouveaux cas sont répertoriés. Ce diabète est une maladie chronique, grave et incurable. Le projet consiste à aider les enfants diabétiques et leurs familles qui n'ont pas les moyens d'acheter l'insuline et les bandelettes de mesure. Explication : le pancréas sécrète de l'insuline qui favorise le stockage du sucre dans les muscles et le foie. Les enfants diabétiques ayant un déficit d’insuline, le glucose s'accumule dans le sang et ne peut plus être utilisé pour produire l'énergie nécessaire au fonctionnement des organes vitaux. Le corps le remplace alors par un autre carburant, les acides gras (lipides), ce qui entraîne la production de substances acides nocives. Les symptômes sont connus : fatigue, déshydratation, nausées, vomissements, difficultés à respirer, confusion, coma. Les complications peuvent être graves : infarctus, AVC, cécité, troubles rénaux pouvant conduire à une dialyse définitive... Chez l'enfant, le diabète est souvent diagnostiqué lors d’un épisode d’hyper-glycémie parfois mortel. L'hospitalisation doit être systématique pour effectuer un bilan complet et décider d'un traitement adapté pour maintenir un taux correct de sucre dans le sang (glycémie). Commence alors un processus d’éducation thérapeutique (enfant, parents et proches). Car l'enfant diabétique est le premier acteur de sa santé. Plus il connaît sa maladie, mieux il pourra surveiller sa glycémie et s'injecter les doses d'insuline nécessaires tout en adoptant un régime alimentaire équilibré et une activité physique régulière. Cette auto-surveillance est effectuée en prélevant une goutte de sang au bout du doigt qui, déposée sur une bandelette et lue par un appareil adapté, pourra indiquer le taux de sucre dans le sang.   Le projet est situé à Errachidia (région du Drâa, Tafilalet), à quelques kilomètres au Nord du Sahara. L'ONG Pédiatres du Monde travaille sur place avec l'association marocaine CHIFAA qui regroupe les parents de 91 enfants ayant un diabète. Des bénévoles de PDM dispensent des actions d'éducation thérapeutique à ces enfants et à leurs familles. Ce dosage de la glycémie doit se faire 4 fois par jour en notant tous les résultats afin d'optimiser les doses d'insuline. L'importance de cette contrainte n'est pas toujours perçue et doit faire l'objet d'une éducation répétée. Parmi ces 91 enfants, 64 enfants ne bénéficient que de la couverture minimale de santé marocaine (RAMED) qui ne prend pas en charge l'achat des consommables (bandelettes) nécessaires à l'équilibre de leur diabète. Or une bandelette revient à 0,25 € x 4 / jour soit 360 € / an / enfant. Certaines familles démunies ne peuvent pas prendre en charge cette dépense.   La Fondation La Petite Etoile participe à ce projet en finançant les bandelettes de dosage permettant de suivre les glycémies des enfants   Budget total : 23 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Fondation Lama, Pédiatres du Monde, Association marocaine CHIFAA Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € (soit la prise en charge de 16 enfants pendant 1 an).

2022/23 : Kits d'urgence et soins médicaux aux enfants ukrainiens réfugiés en Roumanie

Chaque minute, près de 10 enfants ukrainiens sont arrachés à leur foyer. Depuis le 24 février 2022, la guerre a obligé plus de 4 millions d’enfants a fuir leur domicile (source UNICEF). De nombreux parents décident alors d’envoyer leurs enfants en sécurité à l'étranger. Mais la loi martiale impose à tous les hommes de 18 à 60 ans de rester au pays pour se battre. Les enfants quittent donc l'Ukraine soit seuls soit accompagnés par les femmes de la famille. Pour échapper au danger imminent, la plupart partent en catastrophe. Dans l'urgence, ils laissent derrière eux tous leurs biens matériels. A la détresse de leur exode s'ajoute le désespoir de l'abandon et de la destruction (pillages, bombardements) de leur foyer. 2 millions d’enfants ukrainiens partent alors se réfugier en Pologne, Moldavie, Hongrie, Roumanie, Slovaquie, République tchèque mais aussi Europe de l'Ouest. Ces enfants ont besoin de TOUT ! Le projet consiste à fournir soins médicaux d'urgence, soutien alimentaire, kits d'hygiène, vêtements chauds, couvertures, soutien psychologique, lieux de repos sécurisés, aide à la recherche de membres de leur famille, mise en relation avec leurs proches...     Dans ce contexte, l'ONG Hope & Homes for Children s'investit dans les "Blue Dots". Ces Points Bleus sont des espaces sécurisés créés par l'Unicef avec le HCR (l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés) et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance. Ils gèrent le flot continu de milliers d'enfants réfugiés (accueil, identification, enregistrement).     En 2023, La Petite Etoile s'investit avec son partenaire Hope & Homes for Children et fournit kits d'urgence, bilans médicaux, soins nécessaires, médicaments, etc…aux enfants ukrainiens réfugiés dans 4 régions de Roumanie : à Brasov, Sibiu, Cluj et Maramures.   Budget total : 220 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Hope and Homes for Children, Unicef Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : ?

Chaque minute, près de 10 enfants ukrainiens sont arrachés à leur foyer. Depuis le 24 février 2022, la guerre a obligé plus de 4 millions d’enfants a fuir leur domicile (source UNICEF). De nombreux parents décident alors d’envoyer leurs enfants en sécurité à l'étranger. Mais la loi martiale impose à tous les hommes de 18 à 60 ans de rester au pays pour se battre. Les enfants quittent donc l'Ukraine soit seuls soit accompagnés par les femmes de la famille. Pour échapper au danger imminent, la plupart partent en catastrophe. Dans l'urgence, ils laissent derrière eux tous leurs biens matériels. A la détresse de leur exode s'ajoute le désespoir de l'abandon et de la destruction (pillages, bombardements) de leur foyer. 2 millions d’enfants ukrainiens partent alors se réfugier en Pologne, Moldavie, Hongrie, Roumanie, Slovaquie, République tchèque mais aussi Europe de l'Ouest. Ces enfants ont besoin de TOUT ! Le projet consiste à fournir soins médicaux d'urgence, soutien alimentaire, kits d'hygiène, vêtements chauds, couvertures, soutien psychologique, lieux de repos sécurisés, aide à la recherche de membres de leur famille, mise en relation avec leurs proches...     Dans ce contexte, l'ONG Hope & Homes for Children s'investit dans les "Blue Dots". Ces Points Bleus sont des espaces sécurisés créés par l'Unicef avec le HCR (l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés) et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance. Ils gèrent le flot continu de milliers d'enfants réfugiés (accueil, identification, enregistrement).     En 2023, La Petite Etoile s'investit avec son partenaire Hope & Homes for Children et fournit kits d'urgence, bilans médicaux, soins nécessaires, médicaments, etc…aux enfants ukrainiens réfugiés dans 4 régions de Roumanie : à Brasov, Sibiu, Cluj et Maramures.   Budget total : 220 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Hope and Homes for Children, Unicef Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : ?

2021/22 : Maison des Parents pour enfants atteints de cancer à Kinshasa

L'unité d'oncologie pédiatrique des Cliniques Universitaires de Kinshasa (Congo RDC) accueille des enfants atteints de cancer. Le projet consiste à augmenter les chances de guérison de ces enfants grâce à la présence des parents pendant toute la durée des soins. Des financements caritatifs ont permis l'achat d'une maison à Kinshasa (commune de Mont-Ngafula). Cette maison a été rénovée par une association locale, qui a dû résoudre 2 problèmes majeurs : - À Kinshasa, les coupures d'électricité sont fréquentes (plusieurs fois par jour et notamment le soir). Les chambres sont plongées dans le noir et les soins aux enfants s'en trouvent impactés. L'association a alors acheté et installé des panneaux photovoltaïques et un groupe électrogène. - Fin 2021, la commune de Mont-Ngafula a été coupée du réseau d'eau potable. Grâce à un 2° financement caritatif, un forage dans la nappe phréatique du fleuve Congo a été créé. L'eau potable est maintenant de nouveau disponible. Aujourd'hui, la Maison des Parents accueille les familles pendant la durée des traitements et parfois aussi les enfants eux-mêmes entre deux cures.   Budget total : 20 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Rotary Club, Fondation AB CFAO Budget apporté par la Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : décembre 2022

L'unité d'oncologie pédiatrique des Cliniques Universitaires de Kinshasa (Congo RDC) accueille des enfants atteints de cancer. Le projet consiste à augmenter les chances de guérison de ces enfants grâce à la présence des parents pendant toute la durée des soins. Des financements caritatifs ont permis l'achat d'une maison à Kinshasa (commune de Mont-Ngafula). Cette maison a été rénovée par une association locale, qui a dû résoudre 2 problèmes majeurs : - À Kinshasa, les coupures d'électricité sont fréquentes (plusieurs fois par jour et notamment le soir). Les chambres sont plongées dans le noir et les soins aux enfants s'en trouvent impactés. L'association a alors acheté et installé des panneaux photovoltaïques et un groupe électrogène. - Fin 2021, la commune de Mont-Ngafula a été coupée du réseau d'eau potable. Grâce à un 2° financement caritatif, un forage dans la nappe phréatique du fleuve Congo a été créé. L'eau potable est maintenant de nouveau disponible. Aujourd'hui, la Maison des Parents accueille les familles pendant la durée des traitements et parfois aussi les enfants eux-mêmes entre deux cures.   Budget total : 20 000 € Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Rotary Club, Fondation AB CFAO Budget apporté par la Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : décembre 2022

2021/22 : Construction d'une cantine d'école et d'un jardin maraicher au Togo

Au Togo, l'un des 25 pays les plus pauvres de la planète, le quart des élèves abandonnent l’école avant la fin du primaire. Les enfants y vont à pied (parfois plus de 10 kilomètres) et souffrent souvent de malnutrition, ce qui a un impact négatif sur leur capacité d’attention. Le projet consiste à créer une cantine et un jardin maraicher au sein de l’école pour la fournir en légumes frais de façon à offrir un petit déjeuner et un déjeuner aux 152 élèves de 6 à 13 ans du village de Gbagban-Kondji (1 430 habitants) à 1h30 de la capitale Lomé. La cantine scolaire prévue a été constituée de 3 bâtiments : un magasin pour les produits alimentaires et les récoltes, une cuisine pour la préparation des repas par les 5 cuisinières bénévoles et un hangar pour la distribution des deux repas quotidiens. Le jardin maraîcher prévu a été installé sur une parcelle de 200 m² cédée gratuitement par les autorités villageoises et alimentée gratuitement en eau par l’Etat togolais. L'entretien du jardin est assuré par une dizaine de femmes bénévoles du village.            L’achat des produits nécessaires à la cuisine (huile, sel…) est renouvelé grâce à une contribution financière demandée aux parents d’élèves fixée à 10 francs CFA (un centime d’euro et demi) par élève pour les 2 repas. Par comparaison, une sucette coûte 25 francs CFA au Togo. Ce montant a été déterminé pour rester accessible à tous et en tenant compte du coût de revient des repas qui s’élève à 125 francs CFA (soit 0,19 €) par jour (50 francs pour le petit déjeuner et 75 francs pour le déjeuner), en sachant que la grande majorité des 152 élèves inscrits actuellement à l’école bénéficieront des repas (soit 1 500 francs CFA de recettes estimées).             Fin 2022, l'ensemble de la surface de 1200 mètres carrés du jardin maraicher scolaire a été mis en culture et produit désormais du maïs et des légumes dont une partie des récoltes est mise en vente, ce qui apporte des recettes financières supplémentaires à la cantine scolaire. D'autre part, la cantine vient d'obtenir l'agrément du Ministère Togolais du Développement à la Base, de la Jeunesse et de l'Emploi des Jeunes pour faire partie des cantines recevant une subvention de l'Etat, calculée selon le nombre de repas servis. La présence du jardin, de latrines scolaires et d'un bâtiment de qualité comme celui construit grâce à l'aide de La Fondation La Petite Etoile ont été des éléments déterminants au moment de la décision du ministère. Budget Total : 18 000 € Co-participants: Fondation La Petite Etoile, Coopération Internationale pour les Equilibres locaux (CIELO), Association togolaise pour la Promotion du Monde Rural et des Personnes Déshéritées (APMRPD) Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : juillet 2022.

Au Togo, l'un des 25 pays les plus pauvres de la planète, le quart des élèves abandonnent l’école avant la fin du primaire. Les enfants y vont à pied (parfois plus de 10 kilomètres) et souffrent souvent de malnutrition, ce qui a un impact négatif sur leur capacité d’attention. Le projet consiste à créer une cantine et un jardin maraicher au sein de l’école pour la fournir en légumes frais de façon à offrir un petit déjeuner et un déjeuner aux 152 élèves de 6 à 13 ans du village de Gbagban-Kondji (1 430 habitants) à 1h30 de la capitale Lomé. La cantine scolaire prévue a été constituée de 3 bâtiments : un magasin pour les produits alimentaires et les récoltes, une cuisine pour la préparation des repas par les 5 cuisinières bénévoles et un hangar pour la distribution des deux repas quotidiens. Le jardin maraîcher prévu a été installé sur une parcelle de 200 m² cédée gratuitement par les autorités villageoises et alimentée gratuitement en eau par l’Etat togolais. L'entretien du jardin est assuré par une dizaine de femmes bénévoles du village.            L’achat des produits nécessaires à la cuisine (huile, sel…) est renouvelé grâce à une contribution financière demandée aux parents d’élèves fixée à 10 francs CFA (un centime d’euro et demi) par élève pour les 2 repas. Par comparaison, une sucette coûte 25 francs CFA au Togo. Ce montant a été déterminé pour rester accessible à tous et en tenant compte du coût de revient des repas qui s’élève à 125 francs CFA (soit 0,19 €) par jour (50 francs pour le petit déjeuner et 75 francs pour le déjeuner), en sachant que la grande majorité des 152 élèves inscrits actuellement à l’école bénéficieront des repas (soit 1 500 francs CFA de recettes estimées).             Fin 2022, l'ensemble de la surface de 1200 mètres carrés du jardin maraicher scolaire a été mis en culture et produit désormais du maïs et des légumes dont une partie des récoltes est mise en vente, ce qui apporte des recettes financières supplémentaires à la cantine scolaire. D'autre part, la cantine vient d'obtenir l'agrément du Ministère Togolais du Développement à la Base, de la Jeunesse et de l'Emploi des Jeunes pour faire partie des cantines recevant une subvention de l'Etat, calculée selon le nombre de repas servis. La présence du jardin, de latrines scolaires et d'un bâtiment de qualité comme celui construit grâce à l'aide de La Fondation La Petite Etoile ont été des éléments déterminants au moment de la décision du ministère. Budget Total : 18 000 € Co-participants: Fondation La Petite Etoile, Coopération Internationale pour les Equilibres locaux (CIELO), Association togolaise pour la Promotion du Monde Rural et des Personnes Déshéritées (APMRPD) Budget apporté par La Fondation La Petite Etoile : 6 000 € Fin du projet : juillet 2022.

2021/22 : Animations au CHU de Bordeaux et au CHU de Nantes pour enfants atteints de malformation cardiaque

En France, 1 enfant sur 100 naît avec une malformation cardiaque. 20 enfants par jour ! Le cœur d’un nourrisson bat environ 200 000 fois en 24 heures. Mais parfois, cette formidable mécanique est entravée par une cardiopathie congénitale. Ce genre d'anomalie qui survient pendant la vie intra-utérine, nécessite une prise en charge hospitalière rapide. La plupart de ces cardiopathies sont opérées avant l'âge de 4 ou 5 ans. Certaines dès la naissance. Le traitement de ces malformations est chirurgical. Mais pour pouvoir opérer à l'intérieur du cœur, il faut le vider de son sang et arrêter ses battements. Les chirurgiens utilisent alors un coeur-poumon artificiel qui établit une circulation extra-corporelle. Pour l'enfant, l'hospitalisation signifie changement d'environnement, apparition de visages inconnus, soins inhabituels (prises de sang, radiographies, ECG, …), perception de l'inquiétude des parents. Soit beaucoup de déstabilisation et d'angoisse. Le projet consiste à combattre la peur, la douleur et l'ennui de l'enfant. La peur : dans l’environnement hospitalier les règles sont différentes, les événements sont imprévisibles et les instruments utilisés pour les soins souvent impressionnants. L'enfant doit gérer sa peur de l’inconnu, le manque d’information et de prévisibilité, une sensation d’insécurité, qui sont autant d’éléments angoissants. La douleur : les soins (injections, transfusions, ponctions, …) provoquent de la douleur et engendrent de l'appréhension. L'ennui : l'enfant se retrouve dans un lit, immobile, sans activité récréative, sans distraction, pas ou peu de visites. D'où un ennui fortement ressenti. Or entre 4 et 12 ans, l’enfant est en plein développement social, cognitif et affectif (début de l’école, nouvelles activités, apprentissage de la vie en groupe ...). Les enfants peuvent cependant y échapper à travers des jeux, des activités ou des visites. Éviter l’ennui à l’hôpital est un moyen d’action positive sur le vécu de la douleur. Pour combattre la peur, l'ennui et la douleur (mais aussi la tristesse et la solitude), la Fondation La Petite Etoile offre aux enfants du service de Cardiologie Pédiatrique du CHU de Bordeaux des petits moments de joie, de rire et d'insouciance. Les Clowns Stéthoscopes proposent tous les lundis des interventions personnalisées et adaptées à chaque enfant. Ils travaillent en étroite collaboration avec les équipes soignantes pour concevoir et ajuster les jeux proposés aux enfants selon leur situation. Bien qu'ils ne soient ni soignants ni thérapeutes, leur travail est reconnu dans le milieu médical et contribue au bien-être de l'enfant hospitalisé.   Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Association Petit Cœur De Beurre, Association Les Clowns Stéthoscopes Budget fourni par la Fondation La Petite Etoile : 5 000 € Fin du projet : décembre 2021   Dans le même contexte et de façon complémentaire aux traitements médicaux, la Fondation La Petite Etoile participe à la création d'ateliers de sophrologie et de socio-esthétique visant à améliorer la qualité de vie de l'enfant ou du jeune adulte durant son hospitalisation, tant sur le plan physique et psychologique que moral. Les bienfaits de ces ateliers sont nombreux : la sophrologie permet notamment une meilleure gestion de la douleur physique et du stress. Elle donne les armes nécessaires pour mieux vivre les moments difficiles de la maladie. La socio-esthétique, quant à elle, offre aux patients des soins esthétiques et un véritable moment de détente pour qu'ils puissent prendre soin d'eux. Cette approche vise à améliorer et valoriser leur estime de soi qui peut parfois être au plus bas. Ces ateliers ont été mis en place au CHU de Nantes.   Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Association Petit Cœur De Beurre Budget apporté par la Fondation La Petite Etoile : 1 000 € Fin du projet : juin 2022

En France, 1 enfant sur 100 naît avec une malformation cardiaque. 20 enfants par jour ! Le cœur d’un nourrisson bat environ 200 000 fois en 24 heures. Mais parfois, cette formidable mécanique est entravée par une cardiopathie congénitale. Ce genre d'anomalie qui survient pendant la vie intra-utérine, nécessite une prise en charge hospitalière rapide. La plupart de ces cardiopathies sont opérées avant l'âge de 4 ou 5 ans. Certaines dès la naissance. Le traitement de ces malformations est chirurgical. Mais pour pouvoir opérer à l'intérieur du cœur, il faut le vider de son sang et arrêter ses battements. Les chirurgiens utilisent alors un coeur-poumon artificiel qui établit une circulation extra-corporelle. Pour l'enfant, l'hospitalisation signifie changement d'environnement, apparition de visages inconnus, soins inhabituels (prises de sang, radiographies, ECG, …), perception de l'inquiétude des parents. Soit beaucoup de déstabilisation et d'angoisse. Le projet consiste à combattre la peur, la douleur et l'ennui de l'enfant. La peur : dans l’environnement hospitalier les règles sont différentes, les événements sont imprévisibles et les instruments utilisés pour les soins souvent impressionnants. L'enfant doit gérer sa peur de l’inconnu, le manque d’information et de prévisibilité, une sensation d’insécurité, qui sont autant d’éléments angoissants. La douleur : les soins (injections, transfusions, ponctions, …) provoquent de la douleur et engendrent de l'appréhension. L'ennui : l'enfant se retrouve dans un lit, immobile, sans activité récréative, sans distraction, pas ou peu de visites. D'où un ennui fortement ressenti. Or entre 4 et 12 ans, l’enfant est en plein développement social, cognitif et affectif (début de l’école, nouvelles activités, apprentissage de la vie en groupe ...). Les enfants peuvent cependant y échapper à travers des jeux, des activités ou des visites. Éviter l’ennui à l’hôpital est un moyen d’action positive sur le vécu de la douleur. Pour combattre la peur, l'ennui et la douleur (mais aussi la tristesse et la solitude), la Fondation La Petite Etoile offre aux enfants du service de Cardiologie Pédiatrique du CHU de Bordeaux des petits moments de joie, de rire et d'insouciance. Les Clowns Stéthoscopes proposent tous les lundis des interventions personnalisées et adaptées à chaque enfant. Ils travaillent en étroite collaboration avec les équipes soignantes pour concevoir et ajuster les jeux proposés aux enfants selon leur situation. Bien qu'ils ne soient ni soignants ni thérapeutes, leur travail est reconnu dans le milieu médical et contribue au bien-être de l'enfant hospitalisé.   Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Association Petit Cœur De Beurre, Association Les Clowns Stéthoscopes Budget fourni par la Fondation La Petite Etoile : 5 000 € Fin du projet : décembre 2021   Dans le même contexte et de façon complémentaire aux traitements médicaux, la Fondation La Petite Etoile participe à la création d'ateliers de sophrologie et de socio-esthétique visant à améliorer la qualité de vie de l'enfant ou du jeune adulte durant son hospitalisation, tant sur le plan physique et psychologique que moral. Les bienfaits de ces ateliers sont nombreux : la sophrologie permet notamment une meilleure gestion de la douleur physique et du stress. Elle donne les armes nécessaires pour mieux vivre les moments difficiles de la maladie. La socio-esthétique, quant à elle, offre aux patients des soins esthétiques et un véritable moment de détente pour qu'ils puissent prendre soin d'eux. Cette approche vise à améliorer et valoriser leur estime de soi qui peut parfois être au plus bas. Ces ateliers ont été mis en place au CHU de Nantes.   Co-participants : Fondation La Petite Etoile, Association Petit Cœur De Beurre Budget apporté par la Fondation La Petite Etoile : 1 000 € Fin du projet : juin 2022

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1° semestre 2021

Envoi des appels à projet pour l'année en cours                     Réception des dossiers de demande de financement Réunion du premier comité exécutif Examen des dossiers, arbitrages et choix définitifs Décision de participer à 3 projets : 1/ le financement d'animations à l'hôpital (hôpitaux de Nantes et de Bordeaux) en faveur d'enfants nés avec une cardiopathie congénitale (en partenariat avec l'association Petit Cœur De Beurre) 2/ le co-financement de la construction d'une cantine et d'un jardin potager en faveur des enfants de l'école élémentaire de Gbagban-Kondji au Togo (en partenariat avec l'association CIELO Coopération Internationale pour les Equilibres Locaux) 3/ le co-financement des frais de fonctionnement d'une Maison des Parents en faveur des familles d'enfants atteints de cancer à Kinshasa au Congo RDC (en partenariat avec l'association GFAOP - Institut Gustave Roussy et le ROTARY CLUB) Déblocage de la première tranche des financements des 3 projets.

Envoi des appels à projet pour l'année en cours                     Réception des dossiers de demande de financement Réunion du premier comité exécutif Examen des dossiers, arbitrages et choix définitifs Décision de participer à 3 projets : 1/ le financement d'animations à l'hôpital (hôpitaux de Nantes et de Bordeaux) en faveur d'enfants nés avec une cardiopathie congénitale (en partenariat avec l'association Petit Cœur De Beurre) 2/ le co-financement de la construction d'une cantine et d'un jardin potager en faveur des enfants de l'école élémentaire de Gbagban-Kondji au Togo (en partenariat avec l'association CIELO Coopération Internationale pour les Equilibres Locaux) 3/ le co-financement des frais de fonctionnement d'une Maison des Parents en faveur des familles d'enfants atteints de cancer à Kinshasa au Congo RDC (en partenariat avec l'association GFAOP - Institut Gustave Roussy et le ROTARY CLUB) Déblocage de la première tranche des financements des 3 projets.